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LES ETAPES

PROGRAMME DE L’ATELIER

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Etape 1. Un travail sur soi

Le siège de la parole, de l’écrit, de l’imaginaire, c’est nous-même.

Tout passe par nous. Pour pouvoir porter un récit, lui donner du sens, l’explorer, le conter, il est nécessaire de faire un véritable travail sur la conscience de soi. Nous rencontrons les forces qui nous habitent et permettons qu’elles nous assistent pour porter la parole : nous pouvons mieux gérer nos émotions, toucher ce qui peux nous bloquer, aller chercher ce qui nous porte, et ainsi libérer les énergies, la liberté, la confiance. 

Ce qui permet de trouver les chemins de l’imaginaire et de l’inspiration en nous, et d’acquérir une perception accrue, de nous, du monde qui nous entoure. 

Il est alors possible de contempler un objet, un texte, de trouver une idée, et d’en faire partir une histoire.

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Etape 2. L’art de raconter une histoire

Plusieurs outils sont ensuite disponibles pour conter cette histoire : 

Les outils de l’orateur : clés de la prise de parole, diction, musicalité des mots, rhétorique. Pour savoir porter un texte, savoir suivre une parole, le sens des mots, le sens global de l’argument. 

Les outils de l’acteur conteur : travail sur l’interprétation, le masque, le clown, les émotions : développement de la créativité, pour aller vers la narration improvisée et l’incarnation de personnages. Basculer du conteur à l’acteur, et vice-versa… 

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Etape 3. Ce que l’on veut raconter : bien choisir une histoire et son message

Après avoir affuté l’outil, c’est à dire soi, et appris des techniques de base de la narration, on peut alors se pencher sur les histoires qui nous occupent et aller chercher celle que l’on souhaite transmettre, l’essence, le message.  

Quelle histoire veut-on raconter ?  Une histoire fictive que l’on souhaite créer ? Quelque chose qui nous concerne directement ? Une histoire personnelle ? Parler d’un sujet qui nous touche ? D’un sujet que l’on veut transmettre ? Une histoire qui passe par nous ou une histoire que l’on choisit pour en parler ? 

Quelle sorte d’histoire va-t-on raconter : une histoire écrite ou orale ? Un conte, un récit, une fable, une légende, une historiette, une épopée, une nouvelle ? 

Que veut-on dire à travers cette histoire ? Même la fiction la plus lointaine porte un message. Que veut-on dire quand on raconte une histoire ? Quel est le véritable sujet de notre narration ? Pourquoi prenons-nous la parole ? Se poser cette question (qui est loin d’être évidente pour tout le monde !) donne un fondement et une âme à notre moment conté…

Quand nous parlons, sachons de quoi on parle ! Évident ? Pas forcément…

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Etape 4. Comment créer une histoire ?

Une fois notre histoire choisie, comment la créer ou l’adapter, en développer les péripéties ?

Retour sur les fondements d’une histoire : qu’elle soit écrite ou orale, toute histoire s’articule autour d’un schéma qui inspire tous les scénaristes : la situation initiale, l’élément perturbateur, les péripéties pour résoudre le problème, le retour du héros et ses transformations. Ce modèle vient donner corps à toute histoire. 

Une histoire adaptée : comment retranscrire une histoire lue ou entendue ?   

Une histoire créée : comment développer une idée d’histoire à partir d’un travail d’improvisation ou d’écriture ? 

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